A l’oreille, nous entendons l’adjectif « prioritaire » qui évoque quelque chose de primordial, qui doit être considéré avant tout autre chose.
A la lecture on assemble « (A) Priori » et « TERRE » : la terre nourricière, celle que l’on cultive, et la Terre, la planète – dont la préservation est dans tous les discours.
Nous voulons remettre au centre de notre réflexion, l’animal, le végétal, l’environnement et la responsabilité de l’humain. C’est PrioriTERRE.